Quatre milliards de caverneux canaux dans mon cerveau lent, de mes yeux ternes s'y perçoivent cette noire clairvoyance d'une externe création extériorisée par mon cortex cérébral : exténué, terrorisé, loin des transcendances hivernales, s'y germent stress et détresse, s'y hisse le suicide et s'y dissipe la mirifique, légère allégresse... Cette morgue planétaire m'atterre, à la manière d'une délétère sorcière mortifère, qui de son jeu chimique annihile dopamine, endorphine...