Qu'ils viennent à présent, ces prétendus sages qui disent du mal des femmes ; qu'ils viennent ces messieurs les poètes qui croient ne pouvoir être applaudis qu'à nos dépends. Je les ferai rougir de honte, et tant d'autres le feront mieux que moi : tant de femmes nobles, courageuses, qui surpassent les hommes en vertu et n'arrivent jamais à leur cheville dans le vice. Vive notre sexe, et que crèvent sur l'heure ceux qui osent en dire du mal.